Alger, lavoir galant
Jeha est heureux envers et contre tout dans le quartier populaire d'Alger où il a repris l'épicerie paternelle. Rien ne peut assombrir son optimisme. Jusqu'à ce matin ordinaire où sa vision du monde bascule, il ne voit plus que vie minable, corruption et frustration sexuelle. Et décide de ne suivre que ses nouveaux désirs...
Un premier roman à l'humour féroce, d'une vitalité inouïe, impitoyable à dépeindre le quotidien de jeunes Algériens pris entre fatalisme, immobilisme et rêves de verts paradis.
« Roman subtil et lumineux, Alger, lavoir galant nous fait passer du rire aux larmes sans nous laisser le temps de reprendre un souffle qu’on ne retrouve, pantelant et secoué, que la dernière page tournée. » Nice-Matin.
« Piquant, abrupt, fourmillant de trouvailles lexicales, Alger, lavoir galant se lit d’un trait. » Var-Matin.
« Pauvreté, chômage, corruption, poids des traditions, avec humour et cocasserie, Nadia Galy dessine, dans ce premier roman, un portrait décapant de l’Algérie d’aujourd’hui. » Christine Rousseau, La Provence.
Un premier roman à l'humour féroce, d'une vitalité inouïe, impitoyable à dépeindre le quotidien de jeunes Algériens pris entre fatalisme, immobilisme et rêves de verts paradis.
« Roman subtil et lumineux, Alger, lavoir galant nous fait passer du rire aux larmes sans nous laisser le temps de reprendre un souffle qu’on ne retrouve, pantelant et secoué, que la dernière page tournée. » Nice-Matin.
« Piquant, abrupt, fourmillant de trouvailles lexicales, Alger, lavoir galant se lit d’un trait. » Var-Matin.
« Pauvreté, chômage, corruption, poids des traditions, avec humour et cocasserie, Nadia Galy dessine, dans ce premier roman, un portrait décapant de l’Algérie d’aujourd’hui. » Christine Rousseau, La Provence.