Alliance de feu - tome 1
L’actualité du récit de la Genèse n’est pas affaire d’histoire, mais d’être : le mythe fondateur de notre civilisation nous parle en réalité de notre vie profonde, de notre rapport à l’Origine et à nos fins dernières. Encore faut-il pouvoir lire ce premier livre de la Bible au-delà du moralisme et de l’étroitesse d’esprit des interprétations classiques. Pour Annick de Souzenelle, seul le regard de l’Homme intérieur, pénétrant le caractère fondamentalement hébreu du texte biblique, permet une telle libération et nous ouvre à la Parole de Dieu.
Verset par verset, mot à mot, lettre par lettre, l’auteur du Symbolisme du corps humain nous invite à une nouvelle lecture du récit de la création – les deux premiers chapitres de la Genèse. Mêlant érudition et ferveur spirituelle, Annick de Souzenelle nous introduit dans une véritable « danse du sens », où s’allient la logique quasi mathématique de la langue hébraïque et la grâce d’une inspiration enracinée dans la tradition chrétienne.
« Refusant le prêt-à-penser et les réponses définitives, Annick de souzenelle pioche dans les Évangiles, la kabbale et la psychologie pour questionner le message biblique. […] Sa méthode ? Bouleverser les habitudes de lecture du Livre, que la paresse d’esprit et de cœur a figées. » Jean-Philippe de Tonnac, Le Monde des religions.
Verset par verset, mot à mot, lettre par lettre, l’auteur du Symbolisme du corps humain nous invite à une nouvelle lecture du récit de la création – les deux premiers chapitres de la Genèse. Mêlant érudition et ferveur spirituelle, Annick de Souzenelle nous introduit dans une véritable « danse du sens », où s’allient la logique quasi mathématique de la langue hébraïque et la grâce d’une inspiration enracinée dans la tradition chrétienne.
« Refusant le prêt-à-penser et les réponses définitives, Annick de souzenelle pioche dans les Évangiles, la kabbale et la psychologie pour questionner le message biblique. […] Sa méthode ? Bouleverser les habitudes de lecture du Livre, que la paresse d’esprit et de cœur a figées. » Jean-Philippe de Tonnac, Le Monde des religions.