Ces Messieurs de Lazard
Entre Paris, Londres, New York, ce fut longtemps « la banque ». Un monde mystérieux où le pouvoir et l'argent s'entremêlent. Car Lazard, c'est plus qu'une banque d'af-faires qui a tout réinventé, les OPA, les fusions et autres raids boursiers. C'est aussi un réseau unique de personnalités qui s'entraident ou se tuent selon leurs intérêts à l'échelle planétaire. Martine Orange, qui a décrit l'effondrement de Vivendi dans Une faillite française, nous fait pénétrer dans le sérail. Celui des financiers mais aussi des patrons de multinationales et des ministres.
Comment la banque a-t-elle échappé à la nationalisation en 1981 ? A-t-elle eu des fidélités successives avec ses clients ? Sur quoi reposait l'immense influence de Michel David-Weill, l'homme qui la dirigea pendant trente ans ? Pourquoi sa succession, confiée au redoutable Bruno Wasserstein, s'est-elle déroulé dans un climat d'une telle violence ? Quel rôle a-t-elle joué dans l'ascension de grands PDG comme Antoine Riboud autrefois ou plus récemment de Bernard Arnaud ?
Un reportage passionnant, une enquête impitoyable, et une analyse de l'intérieur - car beaucoup de ces financiers ont accepté pour la première fois de témoigner - sur un demi siècle d'un capitalisme de plus en plus débridé.
Comment la banque a-t-elle échappé à la nationalisation en 1981 ? A-t-elle eu des fidélités successives avec ses clients ? Sur quoi reposait l'immense influence de Michel David-Weill, l'homme qui la dirigea pendant trente ans ? Pourquoi sa succession, confiée au redoutable Bruno Wasserstein, s'est-elle déroulé dans un climat d'une telle violence ? Quel rôle a-t-elle joué dans l'ascension de grands PDG comme Antoine Riboud autrefois ou plus récemment de Bernard Arnaud ?
Un reportage passionnant, une enquête impitoyable, et une analyse de l'intérieur - car beaucoup de ces financiers ont accepté pour la première fois de témoigner - sur un demi siècle d'un capitalisme de plus en plus débridé.