Dans le silence de l'Aleph
Il existe en nous un bon et un mauvais silence.
Le bon silence, c'est celui de l'écoute, celui de l'ouverture de l'âme à l'art, à la lumière et à la nuit, à, la Parole initiale dont toutes les autres ont pu sortir dans la durée d'une vie. Nous durons, nous parlons, nous survivons d'instant en instant par la grâce de ce lieu saint caché en nous-mêmes, que Claude Vigée identifie à l'Aleph, première lettre de l'alphabet hébreu, symbole de l'Un originel. "L'expérience de la guerre et de l'exil m'a appris dès ma première jeunesse à avoir soif de ce lieu, dit-il. Les circonstances m'ont contraint à creuser un tunnel souterrain jusqu'à lui."
Ce cheminement intérieur, Claude Vigée nous en livre ici l'essence, à travers une méditation fondée sur son interprétation de la Révélation biblique : interprétation à la fois très personnelle et poétique, enracinée dans la plus pure tradition judaïque, en particulier dans ce joyau de la mystique juive qu'est la Kabbale.
Le bon silence, c'est celui de l'écoute, celui de l'ouverture de l'âme à l'art, à la lumière et à la nuit, à, la Parole initiale dont toutes les autres ont pu sortir dans la durée d'une vie. Nous durons, nous parlons, nous survivons d'instant en instant par la grâce de ce lieu saint caché en nous-mêmes, que Claude Vigée identifie à l'Aleph, première lettre de l'alphabet hébreu, symbole de l'Un originel. "L'expérience de la guerre et de l'exil m'a appris dès ma première jeunesse à avoir soif de ce lieu, dit-il. Les circonstances m'ont contraint à creuser un tunnel souterrain jusqu'à lui."
Ce cheminement intérieur, Claude Vigée nous en livre ici l'essence, à travers une méditation fondée sur son interprétation de la Révélation biblique : interprétation à la fois très personnelle et poétique, enracinée dans la plus pure tradition judaïque, en particulier dans ce joyau de la mystique juive qu'est la Kabbale.