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Terres d'Amérique
Danses de guerre
Considéré comme l’un des écrivains américains les plus talentueux de sa génération, Sherman Alexie bâtit une œuvre singulière et forte, résolument contemporaine. Avec Phoenix, Arizona ou Dix petits Indiens, il s’est imposé comme un maître de la nouvelle. Son nouveau recueil, couronné par le prix Pen Faulkner 2010, explore la condition humaine avec davantage de force que bien des romans. Nos relations avec les autres ne seraient-elles en fin de compte que de petites guerres ?
« Tour à tour désopilant, fantaisiste, poétique ou sardonique, cet Indien-là a une extraordinaire propension à rire de tout : des siens, de leurs travers et conformismes comme de leurs qualités et de leur naïveté, mais il sait aussi rire de lui-même. » Le Monde
« Sherman Alexie réduit en bouillie les clichés et dissèque tout ce qui touche à l’homme. » Télérama
« Sherman Alexie écrit à fleur de peau des histoires débordantes de tendresse. Sombres mais jamais larmoyantes. Et souvent pétries d’humour, cet antiseptique qui nettoie les plus profondes des blessures. » L’Express
« Son humour est irrévérencieux, sa hargne sans fin. Ironique, provocateur, il n’embellit jamais la réalité, les envies d’intégration ratées, la sensation d’être un étranger partout. » Lire
Traduit de l’américain par Michel Lederer
« Tour à tour désopilant, fantaisiste, poétique ou sardonique, cet Indien-là a une extraordinaire propension à rire de tout : des siens, de leurs travers et conformismes comme de leurs qualités et de leur naïveté, mais il sait aussi rire de lui-même. » Le Monde
« Sherman Alexie réduit en bouillie les clichés et dissèque tout ce qui touche à l’homme. » Télérama
« Sherman Alexie écrit à fleur de peau des histoires débordantes de tendresse. Sombres mais jamais larmoyantes. Et souvent pétries d’humour, cet antiseptique qui nettoie les plus profondes des blessures. » L’Express
« Son humour est irrévérencieux, sa hargne sans fin. Ironique, provocateur, il n’embellit jamais la réalité, les envies d’intégration ratées, la sensation d’être un étranger partout. » Lire
Traduit de l’américain par Michel Lederer