De l'âme et de son destin
Depuis un demi-siècle, l’Eglise catholique a développé d’énormes efforts pour parler au monde moderne. Mais il existe un domaine théologique demeuré intouchable : celui des fins dernières. Que peuvent bien signifier à l’heure de la relativité et de la physique quantique, de l’évolution et de la biologie moléculaire, de la psychanalyse et de l’astrophysique, des mots comme Résurrection de la chair, Jugement dernier, Enfer, Paradis, Purgatoire… ? Ces questions évidentes, personne n’ose les aborder de peur d’ébranler un édifice dogmatique figé depuis le Moyen-Age.
Vito Mancuso a décidé de lancer le débat pour rendre au christianisme sa crédibilité perdue. Philosophe et théologien, il prend le problème à sa racine, en posant à nouveaux frais la question fondamentale de l’âme. Pour comprendre ce que peuvent être la mort, et éventuellement l’au-delà, le salut, la vie éternelle, il faut reconsidérer la définition de l’âme. Mancuso nous y invite à travers une véritable enquête, qui convoque aussi bien les maîtres de la philosophie grecque que les grands penseurs chrétiens et même les autres religions.
La conclusion de l’auteur, pour qui il faut en finir avec le péché originel, sera jugée irrecevable par certains, et elle a fait scandale en Italie où ce livre est vite devenu un best-seller. Mais, comme le suggère le cardinal Carlo Maria Martini dans sa préface, Vito Mancuso aura rendu incontournables pour l’Eglise, et pour tous, ces questions épineuses.
Vito Mancuso a décidé de lancer le débat pour rendre au christianisme sa crédibilité perdue. Philosophe et théologien, il prend le problème à sa racine, en posant à nouveaux frais la question fondamentale de l’âme. Pour comprendre ce que peuvent être la mort, et éventuellement l’au-delà, le salut, la vie éternelle, il faut reconsidérer la définition de l’âme. Mancuso nous y invite à travers une véritable enquête, qui convoque aussi bien les maîtres de la philosophie grecque que les grands penseurs chrétiens et même les autres religions.
La conclusion de l’auteur, pour qui il faut en finir avec le péché originel, sera jugée irrecevable par certains, et elle a fait scandale en Italie où ce livre est vite devenu un best-seller. Mais, comme le suggère le cardinal Carlo Maria Martini dans sa préface, Vito Mancuso aura rendu incontournables pour l’Eglise, et pour tous, ces questions épineuses.