Et qu'on m'emporte
Être une mauvaise mère, c’est ce que redoutent toutes les mères. Pas Emma qui sait qu’elle l’a été. Au soir de sa vie elle assume l’abandon de ses enfants, surtout de sa fille aînée, et le désir de vivre qui ne l’a jamais quittée. Sans pathos ni culpabilité, elle invoque son droit à la liberté et au plaisir plus fort que tout sentiment maternel, raconte comment elle n’a pas su aimer. Et peu à peu le souvenir d’un caillou rose que lui avait offert sa fille devient fil conducteur et obsession, son rosebud à elle, sans aucun regret.
Après La Mère horizontale, Carole Zalberg poursuit son étonnante remontée narrative dans une histoire familiale où les femmes sont incapables d’aimer.
Après La Mère horizontale, Carole Zalberg poursuit son étonnante remontée narrative dans une histoire familiale où les femmes sont incapables d’aimer.