Français, choisissons l'espoir
Solitaire ou chef de file ? Homme du passé ou visionnaire ? Ce critique du présent condamne-t-il ou annonce-t-il l'avenir ? Est-il le dernier et l'inutile survivant de la foi gaulliste ? Annonce-t-il le réveil national des nouvelles générations de demain ou d'après-demain ?
Ce serviteur de l'Etat, l'un des fondateurs de notre Constitution, est-il aujourd'hui divorcé de la République ou son meilleur défenseur, dans la tradition des républicains d'antan ? Ces questions montrent en définitive que Michel Debré est une personnalité à part dans le monde politique actuel.
Garde des Sceaux, rédacteur des institutions, Premier Ministre pendant la période la plus difficile de l'après-guerre, puis successivement Ministre de l'Economie et des Finances (1966-1968), des Affaires Etrangères (1968-1969), de la Défense Nationale (1969-1973), Michel Debré a fondé l'Ecole Nationale d'Administration, le Centre National d'Etudes Judiciaires devenu Ecole Nationale de la Magistrature, ouvert l'Ecole Polytechnique aux femmes et aux lycéens issus de la filière technique de l'Education Nationale.
Michel Debré porte aujourd'hui ses réflexions et ses analyses sur l'exercice de la démocratie, sur la démographie, sur le développement de la Recherche et de l'Innovation, sur la compétition économique mondiale. Et, naturellement, sur les perspectives de l'organisation européenne dont il fut un des artisans, notamment par la politique agricole commune qu'il définit et mit en place.
Estimant mal conçue, ambiguë et pour tout dire dangereuse l'élection prochaine au suffrage universel d'une Assemblée Européenne, Michel Debré, le premier, a mis en garde nos dirigeants et l'opinion. Le premier aussi il affirma que cette « affaire » allait profondément diviser la France alors qu'une autre voie était possible qui assure un grand avenir à l'Europe, dans l'affirmation d'une France forte et indépendante.
Cet ouvrage, écrit avec passion mais avec le souci de la précision, est à la fois une histoire, un réquisitoire et un plaidoyer qui éclairent tous trois nos débats actuels. Et ceux de demain.
Ce serviteur de l'Etat, l'un des fondateurs de notre Constitution, est-il aujourd'hui divorcé de la République ou son meilleur défenseur, dans la tradition des républicains d'antan ? Ces questions montrent en définitive que Michel Debré est une personnalité à part dans le monde politique actuel.
Garde des Sceaux, rédacteur des institutions, Premier Ministre pendant la période la plus difficile de l'après-guerre, puis successivement Ministre de l'Economie et des Finances (1966-1968), des Affaires Etrangères (1968-1969), de la Défense Nationale (1969-1973), Michel Debré a fondé l'Ecole Nationale d'Administration, le Centre National d'Etudes Judiciaires devenu Ecole Nationale de la Magistrature, ouvert l'Ecole Polytechnique aux femmes et aux lycéens issus de la filière technique de l'Education Nationale.
Michel Debré porte aujourd'hui ses réflexions et ses analyses sur l'exercice de la démocratie, sur la démographie, sur le développement de la Recherche et de l'Innovation, sur la compétition économique mondiale. Et, naturellement, sur les perspectives de l'organisation européenne dont il fut un des artisans, notamment par la politique agricole commune qu'il définit et mit en place.
Estimant mal conçue, ambiguë et pour tout dire dangereuse l'élection prochaine au suffrage universel d'une Assemblée Européenne, Michel Debré, le premier, a mis en garde nos dirigeants et l'opinion. Le premier aussi il affirma que cette « affaire » allait profondément diviser la France alors qu'une autre voie était possible qui assure un grand avenir à l'Europe, dans l'affirmation d'une France forte et indépendante.
Cet ouvrage, écrit avec passion mais avec le souci de la précision, est à la fois une histoire, un réquisitoire et un plaidoyer qui éclairent tous trois nos débats actuels. Et ceux de demain.