JFK, le dernier jour
Dallas, le 22 novembre 1963.
John Fitzgerald Kennedy est abattu à 12h30, devant des millions de téléspectateurs.
Le polar du siècle vient de commencer, avec ses politiciens douteux, ses truands cyniques, ses flics fiévreux, ses millionnaires pleins de haine, ses crapules d’extrême-droite, ses gardes du corps inertes, ses voyous des bas-fonds, ses faux coupables, ses fous et ses justes. De l’arrivée à Dallas à l’enterrement de JFK à Washington, on assiste minute après minute à cette mort annoncée.
Ce livre n’est pas une enquête sur un complot. Ni un roman. Ni une fresque littéraire sur un drame resté dans l’Histoire.
C’est tout cela à la fois.
John Fitzgerald Kennedy est abattu à 12h30, devant des millions de téléspectateurs.
Le polar du siècle vient de commencer, avec ses politiciens douteux, ses truands cyniques, ses flics fiévreux, ses millionnaires pleins de haine, ses crapules d’extrême-droite, ses gardes du corps inertes, ses voyous des bas-fonds, ses faux coupables, ses fous et ses justes. De l’arrivée à Dallas à l’enterrement de JFK à Washington, on assiste minute après minute à cette mort annoncée.
Ce livre n’est pas une enquête sur un complot. Ni un roman. Ni une fresque littéraire sur un drame resté dans l’Histoire.
C’est tout cela à la fois.