Kobar
« Il souleva l’automatique et la lueur faible du ciel joua sur le canon terne.
Il appuya sur la détente.
il n’aimait pas ce travail. En fait, il n’avait jamais rien aimé.
Ni un pays, ni une femme, ni un chien. »
Après les frénésies meurtrières de Reiner, après le destin écarlate de Darakan, voici le dernier héros de Klotz : Kobar, le plus sombre, le plus silencieux, le plus inoubliable.