La Cuisine juive tunisienne de mère en fille
Quand une mère juive invite ses enfants, elle ne dit pas « Venez dîner » mais « J’ai fait une loubia, vous venez dîner ? ». Une méthode implacable à laquelle personne n’ose se dérober. Et pour cause ! Subtil métissage de cultures, de couleurs et de saveurs, nourries de diverses influences – turque, grecque, italienne –, la cuisine juive tunisienne, qui se transmet de mère en fille, en belle-fille, en petite-fille, est conviviale, généreuse et économe.
Si on dit couscous, tajine, brick, harissa, merguez ou loukoum… pas besoin de faire un dessin. Mais que sait-on de la marmouma, de la pkaïla, des manicotti et autres lablabi ? Riche de 320 recettes, mémoire d’une communauté avec ses secrets et ses anecdotes, cet ouvrage régulièrement réédité est considéré comme la référence de la cuisine juive tunisienne.
Si on dit couscous, tajine, brick, harissa, merguez ou loukoum… pas besoin de faire un dessin. Mais que sait-on de la marmouma, de la pkaïla, des manicotti et autres lablabi ? Riche de 320 recettes, mémoire d’une communauté avec ses secrets et ses anecdotes, cet ouvrage régulièrement réédité est considéré comme la référence de la cuisine juive tunisienne.