Le Cabinet noir
Surnommé le « ministre de la vie privée », François de Grossouvre a été, dans le sillage de François Mitterrand, l'homme de la part d'ombre : gestion de la famille morganatique de l'ancien chef d'Etat bien sûr, mais aussi supervision des services secrets. Un itinéraire brutalement interrompu, un soir, par un coup de feu tiré dans son bureau de l'Élysée. Suicide ?
Frédéric Laurent a été le principal collaborateur de François de Grossouvre lorsque celui-ci est venu, en mai 1981, s'installer à la présidence de la République. En acceptant de raconter, il apporte un témoignage essentiel.
La savoureuse chronique qu'il livre révèle non seulement une gauche miné par l'amateurisme et la cupidité, mais encore des Services manipulés et déchirés par les querelles partisanes. Surtout, il éclaire un entourage présidentiel épuisé par les luttes de clans.
Avec ce singulier document, la « part d'inventaire » progresse.
Frédéric Laurent a été le principal collaborateur de François de Grossouvre lorsque celui-ci est venu, en mai 1981, s'installer à la présidence de la République. En acceptant de raconter, il apporte un témoignage essentiel.
La savoureuse chronique qu'il livre révèle non seulement une gauche miné par l'amateurisme et la cupidité, mais encore des Services manipulés et déchirés par les querelles partisanes. Surtout, il éclaire un entourage présidentiel épuisé par les luttes de clans.
Avec ce singulier document, la « part d'inventaire » progresse.