Le Libéralisme est un humanisme
« Diriger c'est servir » : Robert Leblanc prône, expérience à l'appui, l'idée qu'un patron a aussi pour mission de créer les conditions pour que chacun dans l'entreprise, quelle que soit sa place, se sente investi d'une responsabilité et sache sa dignité reconnue. Ce qui n'empêche nullement l'exigence du développement durable donc rentable de l'entreprise. Au contraire ! La réussite n'est durable que si toutes les parties prenantes y trouvent leur compte. Et c'est possible.
Les entreprises et les talents ont besoin de liberté, donc de confiance, pour s'épanouir. Cela implique le respect de l'autre et de soi-même. Robert Leblanc ose parler d'amour ! Et il défend la place de l'humain dans un monde de plus en plus complexe.
C'est à ce titre qu'il voit dans le libéralisme une voie d'épanouissement individuel et collectif, une possibilité pour tous de servir le bien commun, c'est-à-dire un humanisme au sens propre.
Les entreprises et les talents ont besoin de liberté, donc de confiance, pour s'épanouir. Cela implique le respect de l'autre et de soi-même. Robert Leblanc ose parler d'amour ! Et il défend la place de l'humain dans un monde de plus en plus complexe.
C'est à ce titre qu'il voit dans le libéralisme une voie d'épanouissement individuel et collectif, une possibilité pour tous de servir le bien commun, c'est-à-dire un humanisme au sens propre.