Le Pont de Ran-Mositar
« Si les femmes de la guerre avaient le devoir de crier, les cris seraient de vengeance. »
Dans l'après-guerre d'une guerre civile, un homme qui se dit forestier et charpentier descend vers le port principal où réfugiés, trafiquants et même vacanciers se côtoient sans se voir. Il est à la recherche d'un autre homme et sa quête prend l'allure d'un absolu tandis qu'il atteint le pont en ruines de Ran-Mositar et offre ses services pour sa reconstruction.
Roman terrible, magnifique et lumineux, d'une rare émotion, sur les blessures de l'après-guerre. Quand le pardon semble impossible.
Franck Pavloff, l'auteur de Matin brun, y décrit, dans une langue tour à tour épique et poétique, toujours étonnamment évocatrice, la tragédie et la souffrance d'hommes et de femmes au coeur brûlé, qui doivent réapprendre à vivre et à aimer.
Dans l'après-guerre d'une guerre civile, un homme qui se dit forestier et charpentier descend vers le port principal où réfugiés, trafiquants et même vacanciers se côtoient sans se voir. Il est à la recherche d'un autre homme et sa quête prend l'allure d'un absolu tandis qu'il atteint le pont en ruines de Ran-Mositar et offre ses services pour sa reconstruction.
Roman terrible, magnifique et lumineux, d'une rare émotion, sur les blessures de l'après-guerre. Quand le pardon semble impossible.
Franck Pavloff, l'auteur de Matin brun, y décrit, dans une langue tour à tour épique et poétique, toujours étonnamment évocatrice, la tragédie et la souffrance d'hommes et de femmes au coeur brûlé, qui doivent réapprendre à vivre et à aimer.