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Espaces libres
Le Visage du vent d'est
Prenant pour point de départ le monde flottant de Hong Kong, ce livre avance dans la mer de Chine du Sud pour aborder Macao et Taiwan, avant de pénétrer en Thaïlande.
C’est donc un livre de voyage. Mais si, en naviguant de territoire en territoire, de lieu en lieu, Kenneth White garde tous ses sens en éveil, le voyage, tel qu’il est compris et pratiqué ici, ne se limite pas à la géographie ni à un compte rendu impressionniste. Il se nourrit de culture ancienne et contemporaine, et aborde aux rivages de la contemplation.
Ces errances orientales sont superbement écrites, dans la prose d’un poète alliant clarté et intensité, où la drôlerie côtoie la méditation, et où la pensée vagabonde dans une ouverture totale au monde.
« Ces errances orientales sont dépeintes dans un style où se mêlent clarté et intensité, mais aussi drôlerie et méditation. »
« Poétique, méditatif et drôle. »
C’est donc un livre de voyage. Mais si, en naviguant de territoire en territoire, de lieu en lieu, Kenneth White garde tous ses sens en éveil, le voyage, tel qu’il est compris et pratiqué ici, ne se limite pas à la géographie ni à un compte rendu impressionniste. Il se nourrit de culture ancienne et contemporaine, et aborde aux rivages de la contemplation.
Ces errances orientales sont superbement écrites, dans la prose d’un poète alliant clarté et intensité, où la drôlerie côtoie la méditation, et où la pensée vagabonde dans une ouverture totale au monde.
« Ces errances orientales sont dépeintes dans un style où se mêlent clarté et intensité, mais aussi drôlerie et méditation. »
Ouest France.
« Poétique, méditatif et drôle. »
City Magazine.