Les Affreux
« Grandir et crever. Même avec plein de choses au milieu, c'est pas une vie. »
D'un jour à l'autre, un homme perd l'usage de son corps. Pas tout à fait mort, plus réellement vivant, il assiste, impuissant, au spectacle d'un monde sur lequel il n'a plus prise. Lâche, cruel, vulgaire. Le monde tel qu'il est ou tel qu'il le voit ?
Dans un souffle furieux, porté par une langue heurtée et sans cesse réinventée, ce roman raconte la déchéance d'un homme et, au-delà, l'impossible communication dans une société qui court à sa perte.
À seulement vingt et un ans, Chloé Schmitt fait preuve d'une grande maîtrise et révèle, à travers ce texte sombre et corrosif, une impressionnante puissance d'écriture.
Chloé Schmitt, pour son roman Les affreux, a reçu le prix Coup de Cœur des Lycéens 2013 de la fondation Prince Pierre de Monaco.
La presse
« Le roman noir et désespéré d’une jeune romancière de 21 ans, sacrément douée. » Livres Hebdo
« Tel un vernis qui se craquelle, ce roman laisse apparaitre les vérités originelles, enfouies sous le décor. La peinture est sombre, les personnages cruels. » Page
« L’argot gicle, chaque phrase es travaillée pour gifler les personnages, le monde entier et le lecteur… Un véritable talent. » Actualité Littéraire
« Langue vive et imagée, rythme soutenu… une belle maîtrise. » L’Express Styles
« Bien éloigné du nombrilisme ambiant, Les Affreux bouscule et interroge sur la notion de pitié et de compassion. Fort et grave. » Métro
« La benjamine des 69 « primo romanciers » de la rentrée réussit l’examen de passage haut la main. » Le Figaro littéraire
« Une écriture corrosive, rapide, brutale… un premier roman très enlevé. » Le Figaro Magazine
« Un roman uppercut. » Marie France