Les Arbres ne montent pas jusqu'au ciel
« C'est quoi, pour toi, la quarantaine ? » demande-t-elle obstinément à ses amies. Elle pour qui le « milieu du chemin de la vie » a commencé par une rupture et la garde alternée de son petit garçon. Après l'effondrement, vient pourtant le temps de la reconstruction, des amitiés fondatrices, des amours éphémères, et d'une certaine douceur de vivre.
Dans Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel, Marianne Rubinstein évoque tout en subtilité cet ébranlement intime de la quarantaine. D'un ton juste et lumineux, l'auteur de Tout le monde n'a pas la chance d'être orphelin et du Journal de Yaël Koppman, en analyse les découvertes, les effrois, les bonheurs et la liberté qui peut en résulter.
La presse
« Messieurs, si les femmes sont pour vous une éternelle énigme, lisez toute affaire cessante ce livre qui vous prouvera, si besoin était, que l’on peut être intelligente, cultivée, drôle et que la quarantaine n’est pas la fin de la séduction ni du désir. Mesdames, vous allez adorer ! » Page
« Un roman plein d’humilité et de fluidité. » Métro