Les Lumières de Central Park
Si Raymond Carver avait vécu à Manhattan, il aurait indéniablement pu être l’auteur de ces nouvelles, qui explorent la façon dont les relations entre les êtres naissent et se brisent. Tels cette femme récemment séparée qui s’immisce dans la vie sentimentale de son fils, ou ce jeune homme qui s’inquiète de voir son père, veuf depuis peu, devenir la coqueluche de ces dames.
Dans les pas de nouvellistes comme John Cheever ou Tobias Wolff, Tom Barbash imprègne ses récits d’humour et d’émotion, saisissant des personnages tiraillés entre espoir et chagrin, désir et désarroi.
« De belles et élégantes nouvelles sur des êtres qui ont tout pour être heureux mais qui s’égarent néanmoins. Une nouvelle voix de la littérature américaine à côté de laquelle il ne faut pas passer » David Vann