Les Secrets de la banque soviétique en France
Des milliers de pièces originales ont permis à Jean Montaldo d'écrire ce livre sur Les secrets de la Banque soviétique en France. Les moindres détails sont tirés des documents mêmes de la banque.
Elle a la réputation dêtre la plus secrète, la plus impénétrable. L'enquête stupéfiante de l'auteur n'a pas été simple : « Je me suis heurté à l'extraordinaire système de précautions propre aux Soviétiques. Mais la machine la plus parfaite a toujours une faille : je l'ai trouvée. Je puis maintenant affirmer, preuves à l'appui, que, contrairement à leurs déclarations, le P.C.F. et la C.G.T. demeurent aux mains de Moscou. »
Dès 1948, en pleine « guerre froide », alors que des grèves politisées et insurrectionnelles mettaient en danger l'économie de la France, le ministre de l'Intérieur socialiste, Jules Moch, dénonçait à l'Assemblée nationale le financement du Parti communiste français par la Banque commerciale (soviétique) de l'Europe du Nord. Jean Montaldo, auteur d'ouvrages chocs et irréfutés, Les Finances du P.C.F. et La France communiste, rouvre aujourd'hui le dossier de cet établissement vraiment pas comme les autres. II démonte ses mécanismes, révèle son influence considérable et prouve que « rien n'a changé » depuis trente ans. Cette véritable ambassade financière assure à l'Union soviétique le contrôle du P.C.F., de sa presse, de sa propagande, de ses réseaux d'affaires. Mieux : de la C.G.T. et des Comités d'entreprise les plus riches de France.
Jean Montaldo éclaire d'une lumière pénétrante les activités et les ramifications de cette multinationale marxiste.
Voici un document explosif.
Elle a la réputation dêtre la plus secrète, la plus impénétrable. L'enquête stupéfiante de l'auteur n'a pas été simple : « Je me suis heurté à l'extraordinaire système de précautions propre aux Soviétiques. Mais la machine la plus parfaite a toujours une faille : je l'ai trouvée. Je puis maintenant affirmer, preuves à l'appui, que, contrairement à leurs déclarations, le P.C.F. et la C.G.T. demeurent aux mains de Moscou. »
Dès 1948, en pleine « guerre froide », alors que des grèves politisées et insurrectionnelles mettaient en danger l'économie de la France, le ministre de l'Intérieur socialiste, Jules Moch, dénonçait à l'Assemblée nationale le financement du Parti communiste français par la Banque commerciale (soviétique) de l'Europe du Nord. Jean Montaldo, auteur d'ouvrages chocs et irréfutés, Les Finances du P.C.F. et La France communiste, rouvre aujourd'hui le dossier de cet établissement vraiment pas comme les autres. II démonte ses mécanismes, révèle son influence considérable et prouve que « rien n'a changé » depuis trente ans. Cette véritable ambassade financière assure à l'Union soviétique le contrôle du P.C.F., de sa presse, de sa propagande, de ses réseaux d'affaires. Mieux : de la C.G.T. et des Comités d'entreprise les plus riches de France.
Jean Montaldo éclaire d'une lumière pénétrante les activités et les ramifications de cette multinationale marxiste.
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