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Terres d'Amérique
Loin du monde
"Une preuve de plus, s’il en était besoin, que David Bergen est l’un des meilleurs écrivains du Canada." The Montreal Gazette
Au début des années 70, deux adolescents vont se rencontrer alors que tout, ou presque, les sépare. Leur idylle ne durera que le temps d’un été, à l’écart de la « vraie vie », dans un endroit sauvage au nord de l’Ontario. Les conventions de la société, leurs familles respectives, le poids du passé, tout contredit les sentiments qui peuvent unir Lizzy Bird, une jeune Blanche et Raymond Seymour, un Indien Ojibwé. Dans un monde où les adultes ont perdu leurs repères, ce sont leurs enfants qui paient le prix de leur petitesse et de leurs préjugés. Avec Loin du monde, magnifique roman sur les illusions de l’adolescence et son idéalisme, l’éveil des sentiments et la complexité des relations, David Bergen nous bouleverse. Mais ce qui caractérise avant tout ce livre, c’est la beauté et la force de son écriture.
"Une pudeur qui n’empêche pas la force, une délicatesse qui n’interdit pas l’intensité, une émotion d’autant plus forte qu’elle est toujours retenue." Le Figaro
Au début des années 70, deux adolescents vont se rencontrer alors que tout, ou presque, les sépare. Leur idylle ne durera que le temps d’un été, à l’écart de la « vraie vie », dans un endroit sauvage au nord de l’Ontario. Les conventions de la société, leurs familles respectives, le poids du passé, tout contredit les sentiments qui peuvent unir Lizzy Bird, une jeune Blanche et Raymond Seymour, un Indien Ojibwé. Dans un monde où les adultes ont perdu leurs repères, ce sont leurs enfants qui paient le prix de leur petitesse et de leurs préjugés. Avec Loin du monde, magnifique roman sur les illusions de l’adolescence et son idéalisme, l’éveil des sentiments et la complexité des relations, David Bergen nous bouleverse. Mais ce qui caractérise avant tout ce livre, c’est la beauté et la force de son écriture.
"Une pudeur qui n’empêche pas la force, une délicatesse qui n’interdit pas l’intensité, une émotion d’autant plus forte qu’elle est toujours retenue." Le Figaro