Louison dans la douceur perdue
Qui est Louison ?
Une friandise : « Louison se déguste comme une friandise, tant Fanny Deschamps sait capter la sensualité des choses. Qu'elle décrive un parfum, une dentelle ou un jour de pluie, elle s'exprime dans une langue imagée, dont le ton et l'élégance semblent venir tout droit du siècle des lumières. »
(Françoise de Comberousse, France-Soir)
Un style : « L'auteur a mis dans Louison sa vivacité à restituer le climat des années 1780, à leur donner de la chair pulpeuse et poudrée , de l'esprit prompt et mordant. »
(Dominique de Saint-Pern, L'Express)
Une belle histoire : « ... écrite en utilisant le meilleur du savoir-faire et de l'esprit qui firent de La Bougainvillée un triomphal succès. »
(Jacques Duquesne, Le Point)
Une lecture exquise : « Une somme d'instants savoureux, et le plus vivant des reportages sur le Paris du siècle de Louis XVI. Une fois de plus, Fanny Deschamps a réussi à rendre le lecteur heureux, et impatient de connaître la suite. »
(Danièle Mazingarbe, Madame Figaro)
La suite de l'histoire, la voici.
Louison a épousé son marquis berrichon. Dans les châteaux du Berri, la vie lente est douce, comme ancrée dans une verte éternité. Le 14 juillet 1789 n'y sera qu'une joyeuse envolée de cloches, pendant qu'à Paris la fin de la douceur de vivre a commencé.
Pour la marquise, ce sera le temps des amours cahotées par la Révolution, pour tous, le temps des orages. À travers la ville en fête et en sang, les réalités de lHistoire se mêlent au jour le jour à l'histoire des personnages. Leur roman est la chronique d'un monde pétillant qui se défait, sans avoir encore rien perdu de son ironie ni de sa gaieté têtue.
Une friandise : « Louison se déguste comme une friandise, tant Fanny Deschamps sait capter la sensualité des choses. Qu'elle décrive un parfum, une dentelle ou un jour de pluie, elle s'exprime dans une langue imagée, dont le ton et l'élégance semblent venir tout droit du siècle des lumières. »
(Françoise de Comberousse, France-Soir)
Un style : « L'auteur a mis dans Louison sa vivacité à restituer le climat des années 1780, à leur donner de la chair pulpeuse et poudrée , de l'esprit prompt et mordant. »
(Dominique de Saint-Pern, L'Express)
Une belle histoire : « ... écrite en utilisant le meilleur du savoir-faire et de l'esprit qui firent de La Bougainvillée un triomphal succès. »
(Jacques Duquesne, Le Point)
Une lecture exquise : « Une somme d'instants savoureux, et le plus vivant des reportages sur le Paris du siècle de Louis XVI. Une fois de plus, Fanny Deschamps a réussi à rendre le lecteur heureux, et impatient de connaître la suite. »
(Danièle Mazingarbe, Madame Figaro)
La suite de l'histoire, la voici.
Louison a épousé son marquis berrichon. Dans les châteaux du Berri, la vie lente est douce, comme ancrée dans une verte éternité. Le 14 juillet 1789 n'y sera qu'une joyeuse envolée de cloches, pendant qu'à Paris la fin de la douceur de vivre a commencé.
Pour la marquise, ce sera le temps des amours cahotées par la Révolution, pour tous, le temps des orages. À travers la ville en fête et en sang, les réalités de lHistoire se mêlent au jour le jour à l'histoire des personnages. Leur roman est la chronique d'un monde pétillant qui se défait, sans avoir encore rien perdu de son ironie ni de sa gaieté têtue.