Madagascar
Après Saint-Louis du Sénégal, Merlin est parti se poser quelques mois à Madagascar, dans une maison au bord de l’eau, parmi les pêcheurs Vesos.
Loin des clichés connus sur Madagascar – ici, point de retournement des morts ni d’animaux exotiques –, il a simplement laissé passer le temps, s’est accordé à la torpeur et à la lenteur de cette existence.
Là, armé de ses pinceaux, il a observé la vie, écouté les histoires, déroulé les vies qui l’entouraient : les pêcheurs et leurs pirogues, le marché à la tortue, les rapports compliqués entre Français et Malgaches, les esprit qui rôdent, la fragilité des cases dans la nuit noire et étoilée… et l’ouragan qui menace au loin.
De ce voyage intime et intense, il a rapporté ces superbes planches, reproduites telles quelles ; si l’on reconnaît sa palette, il s’y ajoute un magnifique travail, presque japonisant, sur la mer et ses reflets infinis.
Plus qu’un carnet de voyage, ce livre est un carnet à la fois intime et passionnant et un très beau travail d’artiste, que l’on connaisse ou non Madagascar.
Loin des clichés connus sur Madagascar – ici, point de retournement des morts ni d’animaux exotiques –, il a simplement laissé passer le temps, s’est accordé à la torpeur et à la lenteur de cette existence.
Là, armé de ses pinceaux, il a observé la vie, écouté les histoires, déroulé les vies qui l’entouraient : les pêcheurs et leurs pirogues, le marché à la tortue, les rapports compliqués entre Français et Malgaches, les esprit qui rôdent, la fragilité des cases dans la nuit noire et étoilée… et l’ouragan qui menace au loin.
De ce voyage intime et intense, il a rapporté ces superbes planches, reproduites telles quelles ; si l’on reconnaît sa palette, il s’y ajoute un magnifique travail, presque japonisant, sur la mer et ses reflets infinis.
Plus qu’un carnet de voyage, ce livre est un carnet à la fois intime et passionnant et un très beau travail d’artiste, que l’on connaisse ou non Madagascar.