Nous tournons en rond dans la nuit
Lost city radio et La Guerre aux chandelles ont imposé l’auteur d’origine péruvienne Daniel Alarcón comme l’une des voix de la diaspora sud-américaine, dont l’œuvre engagée est hantée par les fantômes de la dictature.
De retour sur les planches après des années de prison pour incitation à la révolte, Henry Nuñez, leader d’une légendaire troupe de théâtre, reprend sa pièce culte : Le Président idiot. Sa rencontre avec Nelson, un jeune acteur plein de fougue qui a grandi dans le culte de la révolution, le convainc de lui donner un des rôles principaux. Nelson accepte sans hésiter et part en tournée sur les routes escarpées de ce pays imaginaire d’Amérique du Sud, dans des villages marqués par les stigmates de la guerre civile…
Où est la frontière entre l’imitation et la réalité ? Daniel Alarcón signe une fable politique puissante qui confirme la promesse apportée par ses deux précédents livres.
« Un roman engagé. Alarcón est un conteur particulièrement doué qui réinvente la construction du récit en tissant une histoire dont le sujet revient sans cesse. Remarquable. »
New York Times Book Review
De retour sur les planches après des années de prison pour incitation à la révolte, Henry Nuñez, leader d’une légendaire troupe de théâtre, reprend sa pièce culte : Le Président idiot. Sa rencontre avec Nelson, un jeune acteur plein de fougue qui a grandi dans le culte de la révolution, le convainc de lui donner un des rôles principaux. Nelson accepte sans hésiter et part en tournée sur les routes escarpées de ce pays imaginaire d’Amérique du Sud, dans des villages marqués par les stigmates de la guerre civile…
Où est la frontière entre l’imitation et la réalité ? Daniel Alarcón signe une fable politique puissante qui confirme la promesse apportée par ses deux précédents livres.
« Un roman engagé. Alarcón est un conteur particulièrement doué qui réinvente la construction du récit en tissant une histoire dont le sujet revient sans cesse. Remarquable. »
New York Times Book Review