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Terres d'Amérique
Orphelins
« Auteur catholique, Charles D’Ambrosio est traduit pour la première fois en France. Deux recueils, Le Musée des poissons morts et Orphelins, révèlent une voix et un talent nouveau. » Bruno de Cessole, Valeurs actuelles.
Considéré aux États-Unis comme l'un des maîtres contemporains de la nouvelle, Charles D'Ambrosio révèle à travers ces textes, publiés dans la presse américaine, l'ampleur de son talent, exprimant la singularité de son univers et de sa démarche.
Enquête journalistique, méditation littéraire, Orphelins pose avant tout un regard sur le monde qui ouvre au lecteur un véritable espace de liberté. De la mort de l'un de ses frères à la visite dantesque d'un orphelinat en Russie en passant par la violence ordinaire aux États-Unis, ce sont autant de réflexions passionnantes, où l'intime rejoint l'universel, que nous fait partager Charles D'Ambrosio.
« Une écriture à la fois sombre et intense, élégante et complexe. » Le Monde.
« Charles D’Ambrosio possède la faculté très rare de mettre sous les yeux de son lecteur la banalité telle qu’il ne l’avait jamais vue. » Raphaëlle Rérolle, Le Monde des livres.
« Une écriture magnifique, un sens du détail d’une justesse exceptionnelle. » Marie-Claire.
« Drôle, lumineux, joyeux, d’un humour jamais assez noir pour céder le pas au cynisme » A. P., Chronic’Art.
« Derrière la très grande variété des personnages et des lieux – de l’orphelinat russe aux fermes de l’Iowa, de la boutique de Seattle à l’hôpital psychiatrique de Manhattan –, on retrouve chez D’Ambrosio une même densité, un même travail sur la langue propre à atteindre l’autre, une curiosité qui ne croit plus, depuis longtemps, à l’anodin. […] Des lambeaux du quotidien naissent des histoires fortes tant le talent de Charles D’ambrosio, loué aussi bien par la critique que par ses pairs Jim Morrisson ou Jay McInnerney, capte l’instant décisif où la vie prend un sens ou le perd. » La Quinzaine littéraire.
« Charles D’Ambrosio aura été cette année l’auteur américain le plus encensé par la critique. » Libération.
« Voilà, décidément, un accent et un talent nouveaux. » Bruno de Cessole, Valeurs actuelles.
« Que ce soit dans la fiction ou dans le témoignage, on retrouve ce même sens du portrait, cette même humanité qui ne se vautre jamais dans la complaisance misérabiliste. » Baptiste Liger, Lire.
Considéré aux États-Unis comme l'un des maîtres contemporains de la nouvelle, Charles D'Ambrosio révèle à travers ces textes, publiés dans la presse américaine, l'ampleur de son talent, exprimant la singularité de son univers et de sa démarche.
Enquête journalistique, méditation littéraire, Orphelins pose avant tout un regard sur le monde qui ouvre au lecteur un véritable espace de liberté. De la mort de l'un de ses frères à la visite dantesque d'un orphelinat en Russie en passant par la violence ordinaire aux États-Unis, ce sont autant de réflexions passionnantes, où l'intime rejoint l'universel, que nous fait partager Charles D'Ambrosio.
« Une écriture à la fois sombre et intense, élégante et complexe. » Le Monde.
« Charles D’Ambrosio possède la faculté très rare de mettre sous les yeux de son lecteur la banalité telle qu’il ne l’avait jamais vue. » Raphaëlle Rérolle, Le Monde des livres.
« Une écriture magnifique, un sens du détail d’une justesse exceptionnelle. » Marie-Claire.
« Drôle, lumineux, joyeux, d’un humour jamais assez noir pour céder le pas au cynisme » A. P., Chronic’Art.
« Derrière la très grande variété des personnages et des lieux – de l’orphelinat russe aux fermes de l’Iowa, de la boutique de Seattle à l’hôpital psychiatrique de Manhattan –, on retrouve chez D’Ambrosio une même densité, un même travail sur la langue propre à atteindre l’autre, une curiosité qui ne croit plus, depuis longtemps, à l’anodin. […] Des lambeaux du quotidien naissent des histoires fortes tant le talent de Charles D’ambrosio, loué aussi bien par la critique que par ses pairs Jim Morrisson ou Jay McInnerney, capte l’instant décisif où la vie prend un sens ou le perd. » La Quinzaine littéraire.
« Charles D’Ambrosio aura été cette année l’auteur américain le plus encensé par la critique. » Libération.
« Voilà, décidément, un accent et un talent nouveaux. » Bruno de Cessole, Valeurs actuelles.
« Que ce soit dans la fiction ou dans le témoignage, on retrouve ce même sens du portrait, cette même humanité qui ne se vautre jamais dans la complaisance misérabiliste. » Baptiste Liger, Lire.