Perdus dans la ville
Brèves intrigues policières, sagas familiales tissées de remords, de regrets et de nostalgies, ces nouvelles ancrées dans les faubourgs de Washington composent un tableau à la fois pittoresque et émouvant de la communauté noire des États-Unis. Une communauté hier fragilisée par l'esclavage et la ségrégation raciale, aujourd'hui traumatisée par la peur de la perte : d'un proche, d'un être cher et plus largement de la mémoire collective.
À aucun moment, Jones ne joue les sociologues. En véritable écrivain, il raconte, crée des images, rend palpables des sensations, met à nu des sentiments, dévoile la mélancolie et les tourments de l'âme de ses personnages. La diversité des tonalités du récit, la qualité de la langue, à la fois moderne et inscrite dans la tradition orale et écrite de la littérature afro-américaine, l'extrême finesse d'observation font de Perdus dans la ville une œuvre éminemment brillante et originale.
« Un livre d’une grande finesse, d’une sensibilité aiguë. »
À aucun moment, Jones ne joue les sociologues. En véritable écrivain, il raconte, crée des images, rend palpables des sensations, met à nu des sentiments, dévoile la mélancolie et les tourments de l'âme de ses personnages. La diversité des tonalités du récit, la qualité de la langue, à la fois moderne et inscrite dans la tradition orale et écrite de la littérature afro-américaine, l'extrême finesse d'observation font de Perdus dans la ville une œuvre éminemment brillante et originale.
« Un livre d’une grande finesse, d’une sensibilité aiguë. »
Valeurs actuelles.