Quarante-neuf nuances de Loulou
Le mâle humain moyen, que nous appellerons ici « Loulou », présente un certain nombre de différences avec l’exemplaire de rêve que la littérature nous propose actuellement.
C’est une affaire de nuances, bien sûr : tous deux appartiennent bien à la catégorie Homo sapiens. Mais cinquante nuances, ou plutôt, cinquante variantes, ce n’est pas rien. D’ailleurs, quarante-neuf suffiront largement.Un peu comme quand « Géo » nous raconte que les dinosaures sont de la famille des oiseaux. Ils ont peut-être un ADN semblable ; mais imaginez seulement un vélociraptor sur votre canapé, et posez près de lui un canari : demain matin, vous en serez encore à compter les nuances qui les distinguent.
C’est une affaire de nuances, bien sûr : tous deux appartiennent bien à la catégorie Homo sapiens. Mais cinquante nuances, ou plutôt, cinquante variantes, ce n’est pas rien. D’ailleurs, quarante-neuf suffiront largement.Un peu comme quand « Géo » nous raconte que les dinosaures sont de la famille des oiseaux. Ils ont peut-être un ADN semblable ; mais imaginez seulement un vélociraptor sur votre canapé, et posez près de lui un canari : demain matin, vous en serez encore à compter les nuances qui les distinguent.