Rien que des fantômes
Judith Hermann appartient à cette nouvelle génération d'écrivains allemands qui ont abandonné l'Histoire majuscule pour évoquer, avec une certaine distance, une forme très moderne d'inadéquation au monde. Ce mal-être, la jeune Berlinoise l'a merveilleusement exprimé dans son précédent livre, Maison d'été, plus tard, véritable phénomène en Allemagne où il a dépassé les 200 000 exemplaires vendus, et dans le monde, avec une vingtaine de traductions. Un succès que ce second recueil de nouvelles est venu confirmer. De Berlin à Austin en passant par Prague, Judith Hermann multiplie les déambulations mélancoliques que son écriture sensuelle et précise excelle à décrire. Rendez-vous
improbables, souvenirs impromptus, chassés-croisés amoureux, sentiment d'attente jamais vraiment comblée : avec finesse, humour, et sensualité, Judith Hermann saisit ce vacillement qui transforme imperceptiblement le présent en passé, et ne laisse à ses personnages que des moments de bonheur fugace.
« Les nouvelles de Judith Hermann vous saisissent et vous envoûtent. Dès les premières lignes, on est sûr qu'on ne sera pas déçu du voyage. »
« Ce que la littérature allemande a de plus important à nous offrir »
improbables, souvenirs impromptus, chassés-croisés amoureux, sentiment d'attente jamais vraiment comblée : avec finesse, humour, et sensualité, Judith Hermann saisit ce vacillement qui transforme imperceptiblement le présent en passé, et ne laisse à ses personnages que des moments de bonheur fugace.
« Les nouvelles de Judith Hermann vous saisissent et vous envoûtent. Dès les premières lignes, on est sûr qu'on ne sera pas déçu du voyage. »
Le Figaro
« Ce que la littérature allemande a de plus important à nous offrir »
Marcel Reich-Ranicki, Frankfurter Allgemeine Zeitung