Si on me cherche...
« Évidemment, il faudra une amnistie ». Voilà ce que proposa le président de la République au secrétaire général de la CFDT quelques semaines après la révélation du scandale de l’U.I.M.M.
On trouvera dans ce document exceptionnel, où François Chérèque s’exprime avec une – rare – liberté de ton, la réponse qu’il fit à Nicolas Sarkozy, dont il fait un portrait à la fois critique et très subtil. On mesurera au fil des pages son indépendance, tant à l’égard du pouvoir que des autres centrales syndicales, tant à l’égard du milieu artistique et de ses stars comme Agnès Jaoui ou Guy Bedos que de la gauche et de ses dirigeants, Ségolène, Bertrand, François et les autres. Sur tous les sujets – 35 heures, service minimum, grands patrons, financement de la vie publique… – cet homme authentique, souvent courageux, nous fait découvrir l’envers du décor. Pour la première fois, François Chérèque, parfois hué par certains militants ou qualifié de « traître » par d’étranges « camarades » se raconte.
Sans langue de bois, quitte à choquer certains, il fait le récit des relations parfois compliquées avec la classe politique et entre les syndicats eux-mêmes. Il décrypte aussi, à partir d’exemples concrets, les réformes en cours et dénonce les hypocrisies et les corporatismes qui bloquent trop souvent tout changement. Un document-choc qui va bien au-delà du champ social traditionnel.
On trouvera dans ce document exceptionnel, où François Chérèque s’exprime avec une – rare – liberté de ton, la réponse qu’il fit à Nicolas Sarkozy, dont il fait un portrait à la fois critique et très subtil. On mesurera au fil des pages son indépendance, tant à l’égard du pouvoir que des autres centrales syndicales, tant à l’égard du milieu artistique et de ses stars comme Agnès Jaoui ou Guy Bedos que de la gauche et de ses dirigeants, Ségolène, Bertrand, François et les autres. Sur tous les sujets – 35 heures, service minimum, grands patrons, financement de la vie publique… – cet homme authentique, souvent courageux, nous fait découvrir l’envers du décor. Pour la première fois, François Chérèque, parfois hué par certains militants ou qualifié de « traître » par d’étranges « camarades » se raconte.
Sans langue de bois, quitte à choquer certains, il fait le récit des relations parfois compliquées avec la classe politique et entre les syndicats eux-mêmes. Il décrypte aussi, à partir d’exemples concrets, les réformes en cours et dénonce les hypocrisies et les corporatismes qui bloquent trop souvent tout changement. Un document-choc qui va bien au-delà du champ social traditionnel.