Sur les fondements de la psychologie analytique
En 1935, Carl Gustav Jung est invité à la Tavistock Clinic, l’Institut de psychologie médicale de Londres, pour prononcer une série de conférences sur l’inconscient et sur sa méthode de psychothérapie.
Après avoir présenté les constituants de la conscience et ses différentes fonctions en relation avec les divers types de personnalité, Jung définit les processus inconscients et recense les moyens d’y accéder. Il différencie l’inconscient personnel de l’inconscient collectif – formé des archétypes communs à toute l’humanité et qui reflètent l’histoire du cerveau humain –, et propose trois méthodes d’approche de l’inconscient : les tests d’associations de mots, l’analyse des rêves et enfin l’imagination active. La dernière conférence est consacrée aux problèmes relatifs au transfert, celui des patients comme celui des thérapeutes.
Illustrées par de nombreux exemples cliniques et suivies d’échanges avec les participants, ces conférences sont une voie d’accès privilégiée à la théorie et à la pratique de la psychothérapie jungienne.
Après avoir présenté les constituants de la conscience et ses différentes fonctions en relation avec les divers types de personnalité, Jung définit les processus inconscients et recense les moyens d’y accéder. Il différencie l’inconscient personnel de l’inconscient collectif – formé des archétypes communs à toute l’humanité et qui reflètent l’histoire du cerveau humain –, et propose trois méthodes d’approche de l’inconscient : les tests d’associations de mots, l’analyse des rêves et enfin l’imagination active. La dernière conférence est consacrée aux problèmes relatifs au transfert, celui des patients comme celui des thérapeutes.
Illustrées par de nombreux exemples cliniques et suivies d’échanges avec les participants, ces conférences sont une voie d’accès privilégiée à la théorie et à la pratique de la psychothérapie jungienne.