Swamplandia
« Quand on n'est qu'au commencement de la fin, on peut très bien se croire déjà au milieu. Quand j'étais petite, je ne voyais pas ces nuances. C'est seulement après la déchéance de Swamplandia que le temps s'est mis à avoir comme un début, un milieu et une fin. En bref, je peux résumer toute l'histoire d'un seul mot : chute. »
Swamplandia a longtemps été le parc d'attractions le plus célèbre de toute la Floride, et sa star, Hilola Bigtree, dompteuse d'alligators de classe internationale, cuisinière exécrable et mère de trois enfants, n'y était pas pour rien. Mais à sa mort, l'entreprise sombre dans le chaos. Seule sa fille Ava, treize ans, semble en mesure de sauver les Bigtree du naufrage et de la menace du Monde de l'Obscur, leur redoutable concurrent...
Sélectionné par le New York Times comme l'un des cinq meilleurs romans américains de l'année 2011, Swamplandia plonge le lecteur dans l'univers luxuriant et magique de Karen Russell, dont l'écriture inventive n'est pas la moindre des qualités.
La presse
« Richesse de la langue, exubérance des personnages… Une merveille ! Des écrivains de la trempe de Miss Russell, il s’en trouve un sur un million… » The New York Times
« Une histoire excentrique, merveilleusement extravagante. Un auteur brillant, doté d’une étonnante imagination. » The Times
« Un vrai tour de force. » Elle U.S.
« D’une originalité stupéfiante. » The Boston Globe
« Magnifique, sombre et drôle. » Rolling Stone
« Chant d’amour au paradis et à l’innocence perdue, ce premier roman d’une incroyable richesse est une révélation. » Library Journal
« Karen Russell s’impose déjà comme une voix singulière et forte de la jeune littérature américaine. » Livres Hebdo
« Vaste succès public et critique aux Etats-Unis, Swamplandia est un puzzle surprenant aux multiples facettes… L’apparition d’une nouvelle voix dans le concert de la littérature américaine, une voix envoûtante où la sensibilité s’épice de vénéneux… La voix d’une auteure à suivre. Magnétique. » Page
« Un vrai grand huit d’émotions subtiles. Epatant. » Elle (Belgique)
« Une merveille de fantaisie, d’immersion dans l’enfance, de divagation poétique. » Les Inrockuptibles
« D’une grâce infinie. » Be
« Un roman délirant et fantaisiste, joli capharnaüm insensé voyant Mark Twain lorgner vers John Kennedy Toole. Une féérie azimutée très recommandable. » Le Figaro Magazine
« Un roman palpitant, brûlé jusqu’à l’os par le malheur et la lumière de la Floride. » Biba
« Un miracle de fantaisie, d’immersion dans l’enfance et de délire poétique. » Les Inrockuptibles
« La sensation US du moment (finaliste du prix Pulitzer). A lire fissa en attendant la future adaptation par HBO. » Technikart
« Une belle surprise. » L’Optimum
« Un imaginaire luxuriant à la Lewis Carroll, une sensibilité et une profondeur rares et un style ultra-inventif… Si ce roman foisonne d’idées et de suspense, Karen Russell éblouit aussi par son écriture imagée. Une petite merveille, un joyau. On adore ! » Le Parisien
« Fantaisiste et poétique, une sublime dérive adolescente. » Grazia
« Bienvenue dans le monde décati de Swamplandia. Bienvenue dans la prose luxuriante de Karen Russell ! » Libération
« Un premier roman qui a enchanté l’Amérique… Une fulgurante « failure story », le récit vertigineux d’un mauvais rêve américain… Une conteuse sans doute un peu sorcière. » Les Echos
« Roman initiatique rude et sincère, conte exotique et réaliste, Swamplandia est un monde à lui tout seul. » Elle « Amusant et mélancolique (effrayant à l’occasion), Swamplandia touche le lecteur grâce à la singularité de son univers et la poésie de sa langue particulièrement inventive. » Lire
« Le lecteur est projeté dans ce parc d’attractions comme dans une sorte de galerie des mystères et parfois des horreurs. Amateurs de réalisme s’abstenir. Mais les amoureux de Lewis Carroll sont priés d’aller voir. Ceux de Stephen King aussi… Comme Flannery O’Connor et Carson McCullers, Karen Russell a élagué, concentré, pour que son lecteur ne soit jamais détourné de la folle histoire des Bigtree. Et c’est une réussite. » Le Monde des livres
« Baroque et aussi foisonnant qu’une mangrove. » 20 Minutes
« Ce premier roman est une pépite. A croquer. » L’Officiel