Tu ne crois pas que tu exagères ?
Au plus bas des sondages, divisé, déconsidéré, le PS se retrouve soixante ans en arrière, lorsque le parti, embourbé dans la guerre d’Algérie, rassemblait à peine 10% des électeurs.
François Hollande tente de dissimuler ses faiblesses derrière les forces de sécurité et Manuel Valls fait peu de cas des « grandes valeurs » de la démocratie. La parenthèse de 1981 est définitivement fermée.
Secrétaire national des Etudiants socialistes puis journaliste au Monde avant de devenir conseiller de Pierre Mauroy à Matignon, Thierry Pfister, auteur de la Lettre ouverte à la génération Mitterrand qui marche à côté de ses pompes, a vécu de l’intérieur l’aventure socialiste. Aujourd’hui, il décode cette inexorable attirance de la gauche pour l’échec.
Au fil de portraits incisifs, de commentaires acerbes, d’anecdotes inédites – Mitterrand le séducteur, Montebourg l’ambitieux, Royal et sa « béatitude christique », Valls le mégalo… –, il dévoile les errements dans lesquels les socialistes ne cessent de se fourvoyer.
Oui, la génération Mitterrand est celle des fossoyeurs du PS.
François Hollande tente de dissimuler ses faiblesses derrière les forces de sécurité et Manuel Valls fait peu de cas des « grandes valeurs » de la démocratie. La parenthèse de 1981 est définitivement fermée.
Secrétaire national des Etudiants socialistes puis journaliste au Monde avant de devenir conseiller de Pierre Mauroy à Matignon, Thierry Pfister, auteur de la Lettre ouverte à la génération Mitterrand qui marche à côté de ses pompes, a vécu de l’intérieur l’aventure socialiste. Aujourd’hui, il décode cette inexorable attirance de la gauche pour l’échec.
Au fil de portraits incisifs, de commentaires acerbes, d’anecdotes inédites – Mitterrand le séducteur, Montebourg l’ambitieux, Royal et sa « béatitude christique », Valls le mégalo… –, il dévoile les errements dans lesquels les socialistes ne cessent de se fourvoyer.
Oui, la génération Mitterrand est celle des fossoyeurs du PS.