Etre de droite : un tabou français
Qui, en France, ose dire aujourd'hui : « Je suis de droite » ? Quel artiste ? Quel journaliste ? Quel enseignant ? Quel fonctionnaire ? S'aff irmer de droite dans un pays, pourtant majoritairement... de droite, expose au risque d'être taxé de « réac », voire de « facho » dans le monde de la culture, dans les salles de rédaction, à l'Éducation nationale, dans la fonction publique et la plupart des entreprises où il est de bon ton et plus payant de revendiquer son appartenance à la gauche. « Être de droite » demeure dans de nombreux cas une maladie honteuse.
Éric Brunet a voulu briser l'omertà et décrypter les codes, les hypocrisies et les mythes d'un tabou très français. Il a poussé la porte des « lieux interdits à la droite ». Il a rencontré des « clandestins idéologiques » qui ont été mis à l'écart pour leurs opinions politiques, jusqu'à voir leur vie sociale et parfois privée brisée parce qu'ils n'étaient pas de gauche. Un voyage paradoxal et stupéfiant dans une France bloquée et sectaire.
Éric Brunet a voulu briser l'omertà et décrypter les codes, les hypocrisies et les mythes d'un tabou très français. Il a poussé la porte des « lieux interdits à la droite ». Il a rencontré des « clandestins idéologiques » qui ont été mis à l'écart pour leurs opinions politiques, jusqu'à voir leur vie sociale et parfois privée brisée parce qu'ils n'étaient pas de gauche. Un voyage paradoxal et stupéfiant dans une France bloquée et sectaire.