Lettres à l'amant - tome 2
Ce second volume des Lettres à l'Amant s'étend du 6 septembre 1963 au 9 juillet 1964, c'est-à-dire tout au long de l'année universitaire pendant laquelle Mireille Sorgue prépare propédeutique à Toulouse.
Dans le premier volume, qui fut salué par une critique unanime comme un événement littéraire, Mireille Sorgue, émerveillée par cet amour qu'elle voyait surgir en elle, a décrit au jour la journée la naissance du sentiment amoureux, et son affermissement, et son affirmation, dans une prose d'une sensualité jamais égalée.
Ici, l'amour parle en maître, ayant donné à Mireille Sorgue toute la sagesse et toute la suavité du monde. A vingt ans à peine, elle sait pouvoir écrire à l'Amant, plus âgé qu'elle : « Et je peux bien être petite, il n'empêche que je te mets au monde, puissante comme la terre-mère, et parce que tu es beau, mon enfant, mon amant, je m'éprouve infinie... »
Infinie, telle est cette correspondance ; infinie, telle est cette écriture ; infinie, telle est cette passion d'un amour culminant.
H.B
« Au fil des mots, elle est de plus en plus belle, Mireille Sorgue. Tellement sérieuse, dans sa recherche du bonheur de vivre. Poignante. »
Geneviève Brissac / Le Monde
Dans le premier volume, qui fut salué par une critique unanime comme un événement littéraire, Mireille Sorgue, émerveillée par cet amour qu'elle voyait surgir en elle, a décrit au jour la journée la naissance du sentiment amoureux, et son affermissement, et son affirmation, dans une prose d'une sensualité jamais égalée.
Ici, l'amour parle en maître, ayant donné à Mireille Sorgue toute la sagesse et toute la suavité du monde. A vingt ans à peine, elle sait pouvoir écrire à l'Amant, plus âgé qu'elle : « Et je peux bien être petite, il n'empêche que je te mets au monde, puissante comme la terre-mère, et parce que tu es beau, mon enfant, mon amant, je m'éprouve infinie... »
Infinie, telle est cette correspondance ; infinie, telle est cette écriture ; infinie, telle est cette passion d'un amour culminant.
H.B
« Au fil des mots, elle est de plus en plus belle, Mireille Sorgue. Tellement sérieuse, dans sa recherche du bonheur de vivre. Poignante. »
Geneviève Brissac / Le Monde