Heureux qui la verra dans cette autre lumière
Deux enfants fuient dans un carrosse doré sur les routes d'une Allemagne à l'agonie, à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Deux enfants broyés par l'Histoire, liés par un amour insensé, dont naîtra une fille, Erda, rejetée, reniée.
Au coeur d'un univers féerique et malveillant, Erda, brillante pianiste, va chercher à se construire un destin. Devenu l'instrument diabolique de sa vengeance contre les deux hommes qui tentent de la briser, son piano lui permettra enfin d'accéder à la renaissance et à la gloire.
Joël Schmidt renoue avec la tradition du romantisme allemand qui lui est chère, et en particulier celle des contes d'Hoffmann, dans ce livre troublant où la réalité rejoint le rêve, le merveilleux, et la violence.
« Les événements s’enchaînent si vite qu’on n’a pas le temps de réagir. Abasourdi, sonné, ravi, l’esprit critique consent à tout. Il n’aura pas à s’en repentir. » Jacques Nerson, Le Nouvel Observateur.
« Une écriture musicale aux notes précises et feutrées. […] La force de ce roman, qui se dévore, vient d’une fréquentation inhabituelle de la mythologie, saluée, bousculée, humanisée. » Gilles Costaz, Les Échos.
« Un récit qui baigne la fois dans la féerie et dans le crépuscule des années noires. » Alain Clerval, La Nouvelle Revue française.
Au coeur d'un univers féerique et malveillant, Erda, brillante pianiste, va chercher à se construire un destin. Devenu l'instrument diabolique de sa vengeance contre les deux hommes qui tentent de la briser, son piano lui permettra enfin d'accéder à la renaissance et à la gloire.
Joël Schmidt renoue avec la tradition du romantisme allemand qui lui est chère, et en particulier celle des contes d'Hoffmann, dans ce livre troublant où la réalité rejoint le rêve, le merveilleux, et la violence.
« Les événements s’enchaînent si vite qu’on n’a pas le temps de réagir. Abasourdi, sonné, ravi, l’esprit critique consent à tout. Il n’aura pas à s’en repentir. » Jacques Nerson, Le Nouvel Observateur.
« Une écriture musicale aux notes précises et feutrées. […] La force de ce roman, qui se dévore, vient d’une fréquentation inhabituelle de la mythologie, saluée, bousculée, humanisée. » Gilles Costaz, Les Échos.
« Un récit qui baigne la fois dans la féerie et dans le crépuscule des années noires. » Alain Clerval, La Nouvelle Revue française.