Les Fleurs du soir
« Au soir de sa vie, après trente années de désert sentimental, André découvre soudain les royaumes enchantés de l'amour. Passion du corps avec la belle Katia, puis passion du coeur avec la douce Isabelle : l'étonnant n'est pas qu'il aime, mais qu'il soit aimé, malgré la formidable différence dâge qui le sépare de ces deux jeunes femmes. Un tel miracle ne saurait se prolonger. Plus que la nature, le conformisme social élève la voix et fait rentrer les choses dans l'ordre. Du moins le souvenir des fleurs cueillies parfumera-t-il le chemin qui reste à parcourir, jusqu'à la chute sous l'horizon. »
« Mais le vrai sujet des Fleurs du soir déborde de loin ce chant du cygne d'un vieil homme. Ce n'est pas seulement par les yeux d'André que le lecteur perçoit le monde de l'amour, c'est aussi par ceux des jeunes femmes. S'ajoute encore la vision propre de trois autres personnages, Helène, Hervé, Maxime, étroitement liés aux protagonistes et entre eux. Ainsi se construit une sorte d'hologramme de l'amour, en trois dimensions. La quatrième, c'est le temps. Le drame central des Fleurs du soir, en définitive, c'est le conflit de l'amour et du temps. »
« Roman d'amour, les Fleurs du soir, parce qu'elles prennent leur temps, nous aident à retrouver le sens humain de la durée, c'est-à-dire, tout compte fait, de la vie. »
R. Ikor
« Mais le vrai sujet des Fleurs du soir déborde de loin ce chant du cygne d'un vieil homme. Ce n'est pas seulement par les yeux d'André que le lecteur perçoit le monde de l'amour, c'est aussi par ceux des jeunes femmes. S'ajoute encore la vision propre de trois autres personnages, Helène, Hervé, Maxime, étroitement liés aux protagonistes et entre eux. Ainsi se construit une sorte d'hologramme de l'amour, en trois dimensions. La quatrième, c'est le temps. Le drame central des Fleurs du soir, en définitive, c'est le conflit de l'amour et du temps. »
« Roman d'amour, les Fleurs du soir, parce qu'elles prennent leur temps, nous aident à retrouver le sens humain de la durée, c'est-à-dire, tout compte fait, de la vie. »
R. Ikor