Les auteurs de cette Rentrée sont souvent partis à la recherche de leurs racines, tentant à travers leur roman de mieux comprendre leur passé et donc leur identité, que ce soit en rendant hommage à leurs parents ou grands-parents ("Le guerrier de porcelaine" de Mathias Malzieu ; "Fils de" de Maurice Mimoun ; "Celui qui veille" de Louise Erdrich), en explorant ce qu'ils ont perdu de leur enfance ("Les survivants" d'Alex Schulman) ou de leur jeunesse ("Rentrée littéraire" d'Eric Neuhoff), ou en réfléchissant à ce qui nous unit au lieu où l'on est né ("L'espérance est ma patrie" de Franck Pavloff).
Explorer son passé, c'est comprendre ce qui nous anime aujourd'hui, et en tirer des enseignements pour notre vie présente... que l'on construise sa vie pour profiter des plaisirs de la vie ("Les larmes du vin" de Daniel Picouly), pour s'oublier dans la passion amoureuse ("Pars, oublie et sois heureuse" de Pierre Mérot), fuir ce passé ("Steglitz" d'Inès Bayard).
Des romans dans lesquels on retrouve souvent quelque chose de nous-mêmes... Alors, prêts à partir explorer votre passé ?